Le Parc National Tayrona

Par défaut

L’étape tant attendue… la découverte du parc Tayrona.  Le premier jour pourra être qualifié de « journée poisse ». Ça commencera de bon matin, dans le bus pour la parc quand je ferai une toute petite réflexion concernant la fille assise en face (« Elle va pas bouger son sac la princesse là! ») et que, par chance, cette fille était française. Je commencerai donc la journée en me faisant traité de « connasse » mais c’est le jeu, et ça nous fera plus rire qu’autre chose d’ailleurs. En 11 mois de voyage, c’était même bizarre que ça ne soit pas encore arrivé! 😉

Ça continuera quelques minutes plus tard quand le bus tombera en panne d’essence + panne de batterie en même temps. Une demi-heure sur le bord de la route à attendre qu’un autre bus vienne nous chercher.

Arrivés à l’entrée du parc, nous décidons de ne pas prendre le minibus qui permettrait d’économiser une bonne heure de marche. Cette décision là était bonne, vu que la ballade était facile et qu’elle nous a permis de voir des singes.

Une deuxième heure de marche dans la jungle direction Arrecifes, beaucoup plus dure celle là. La chaleur étouffante + l’humidité + les bestioles de la jungle font du trajet un véritable calvaire. Mais nous arrivons sains et saufs et trouvons le lieu le moins cher pour camper. On prend l’option sans abri bien sûr, c’est moins cher et de toute façon il ne va pas pleuvoir (?!).

On pose nos affaires et direction la plage. Il est interdit de se baigner à Arrecifes tellement les courants sont dangereux, il faut donc marcher 20 minutes en direction d’une « piscina » créée par les rochers et les coraux, qui rendent la baignade plus sûre. On pose la serviette, et dix minutes plus tard, l’orage commence à gronder. Les premières gouttes tombent quand nous décidons de partir, et nous ferons le chemin retour sous une averse diluvienne. Trempés et dégoûtés, nous ferons une sieste dans notre tente (qui prend l’eau) en se sentant quasiment comme dans Koh-Lanta. Ah oui, nous n’avons toujours rien mangé de la journée. Vers 20h30 on sort difficilement de notre abri de fortune pour trouver un restaurant: tout est cher, mais on meurt de faim alors peu importe. A part que le restaurant n’ouvre que jusqu’à 20h, mais bien sûr! C’est donc le ventre vide qu’on ira se coucher, cette fois vraiment au bout du rouleau.

Mais tout cela sera vite, très vite effacé grâce aux paysages et aux plages INCROYABLES que nous avons pu voir. On vous laisse admirer en photos ce coin de paradis…DSC_0913 (Copier) DSC_0916 (Copier) DSC_0921 (Copier) DSC_0922 (Copier) DSC_0924 (Copier) DSC_0926 (Copier) DSC_0934 (Copier) DSC_0945 (Copier) DSC_0952 (Copier) DSC_0956 (Copier) DSC_0962 (Copier) DSC_0974 (Copier) DSC_0995 (Copier) DSC_1007 (Copier) DSC_1026 (Copier) DSC_1040 (Copier) DSC_1042 (Copier) DSC_1044 (Copier) DSC_1077 (Copier) DSC_1079 (Copier) DSC_1092 (Copier) DSC_1107 (Copier) DSC_1111 (Copier) DSC_1130 (Copier) DSC_1138 (Copier) DSC_1169 (Copier) DSC_1186 (Copier) DSC_1195 (Copier) DSC_1206 (Copier) DSC_1223 (Copier) DSC_1246 (Copier) DSC_1249 (Copier)

Une réponse "

  1. de retour d’argentine je consulte comme d’habitude votre blog, et dominique a raison ma petite julie comment toi qui est le gps tu n’as pas pensé à mettre les gateaux (du bus) dans ton sac. je revisite le blog que tu m’as montré et c’est toujours aussi génial. gros bisous les amours

Laisser un commentaire