Tempête et inondations sur Buenos Aires mais ne vous inquiétez pas, on va toujours aussi bien (même si on aimerait bien que ce printemps pourri finisse vite !). Julie a trouvé du boulot, serveuse dans un café qui s’appelle « Tienda de Café », un mi-temps juste à côté de chez nous avec des horaires assez cools qui permettent de continuer à profiter et à visiter. Julien aide une française qui ouvre son café français en plein Palermo, et bossera là-bas quand ça ouvrira, dans quelques semaines. On devient des tueurs en espagnol, on met des « ch » partout comme eux (même si c’est le genre de chose qui ne servira qu’en Argentine!) et on commence même le lunfardo (argot de Buenos Aires).
Le métro porteño et ses musiciens
Vendredi soir Plaza Cortazar, Gaston drague, et John désespère de nous voir danser n’importe comment sur leurs rythmes latinos ! Promis bientôt on dansera le reaggeaton la main sur le coeur nous aussi 😉
Et encore des oeuvres d’art à chaque coin de rue, dans chaque parc, partout !
Une petite photo du nouveau lieu de travail de Julie, dans le quartier de Belgrano. Pas évident de comprendre ce que les gens commandent au début (si seulement ils pouvaient appelé un café un café mais non ! Il ont douze mots différents pour dire la même chose!) mais la plupart sont agréablement surpris de rencontrer une française et sont très fiers de me dire les trois mots qu’ils connaissent: « Bonjour », « Trézéguet » et « Tour Eiffel ».